Aujourd’hui on parle d’un grand classique de la littérature de jeunesse, j’ai nommé Roule Galette. J’ai eu envie de m’attaquer à un album trèèèès travaillé à l’école maternelle (certaines instit en ont fait des overdoses !). Pour ma part, je n’avais encore jamais osé m’attaquer au monument…
D’autre part, j’ai commencé à préparer le prochain stage sur la fabrication de matériel pédagogique et j’ai envie d’approfondir mes connaissances sur le sujet. J’ai envie de pouvoir proposer des nouveautés aux stagiaires qui auraient envie de revenir et puis de présenter des tapis sous d’autres formes. J’ai gardé le principe du tapis qui se ferme avec des fermetures éclair : j’aime bien garder le une certaine cohérence dans mes tapis tout en explorant d’autres formes, d’autres systèmes. J’avais apprécié le fait de ne pas avoir à réaliser tous les personnages comme pour celui-ci, en plus j’ai remarqué que les élèves s’en saisissaient plus facilement. Je l’ai fait de forme ronde, galette oblige, mais c’était aussi l’occasion d’explorer une nouvelle forme. Ce qui a été un réel changement pour moi a été de réaliser ce tapis avec les moyens que j’avais. Je m’explique : j’ai voulu réaliser ce tapis uniquement avec les fournitures que j’avais déjà (mis à part les zips) et avec le temps disponible… Ahum humm… Tu vois le dilemme ?
Pour les fournitures, ce n’était pas si difficile parce qu’il y a beaucoup trop de choses dans mon atelier (et soit dit en passant, il faut absolument que j’apprenne à utiliser ce que j’ai déjà, je suis sure que cela peut être un vecteur de créativité). Pour ce qui est du temps, c’était beaucoup plus compliqué. J’avais dégrossi la base un mardi matin où j’étais seule à la maison, pour le reste je disposais d’une nuit entre deux cours de couture où j’étais sans mari ni enfants. J’ai donc décidé de faire ce projet en fonction du temps qui m’était imparti. J’ai donc d’emblée éliminé les idées farfelues qui m’auraient pris trop de temps pour aller droit au but et arrêter de me prendre la tête sur le moindre détail. J’ai donc cousu toute la soirée en essayant de me laisser aller à une création plus spontanée et c’était très agréable ! J’avais adoré voir certaines stagiaires l’été dernier créer leurs tapis de cette façon, elle se reconnaîtront, j’en suis sure ! J’ai terminé en me levant très tôt le lendemain et j’étais tellement satisfaite d’avoir fini ! Ce n’est pas valable pour tout mais pour ce qui est des tapis, mon nouveau mantra est « c’est pas parfait mais c’est fait ! ». Je crois qu’il vaut mieux un projet correct réalisé et utilisé plutôt qu’un projet au potentiel extraordinaire qui reste dans le placard pendant des années ! En tout cas, moi j’ai été trop longtemps dans le deuxième cas de figure…
Trève de bavardage, place aux photos !


Ceux qui me suivent depuis un moment savent que je raffole des résolutions, j’en prends toujours 472, ça me motive même si je n’en réalise qu’un quart. Jusque là tout va bien sauf que plus ça va, plus les trois quarts restant me font souffrir, ils envahissent ma tête, me font culpabiliser…
J’ai donc pris le temps de faire le bilan de mon année 2019 dans tous les sens et dans tous les domaines. Je suis beaucoup d’outils de développement personnel et cela m’aide beaucoup à y voir plus clair. Je sais maintenant de façon plus claire ce qu’il faut que j’essaie de renouveler, je sais aussi ce dont je n’ai plus envie. Cela me donne des directions pour cette nouvelle année…
La reprise en main de mon corps dont je parlais ici et là a été un vrai déclencheur. J’ai vraiment eu le sentiment de reprendre les rennes de ma vie et j’ai senti que tout était entre mes mains. Même si cette démarche n’est pas terminée, elle est déjà positive et c’est justement le succès dans cette démarche qui me fait prendre conscience que je suis capable d’opérer de grands changements. Si j’ai réussi à changer dans ce domaine, je peux le faire dans d’autres domaines. Il suffit peut-être de s’y consacrer pleinement ? Je crois que mes multiples résolutions m’ont perdue, je ne voyais pas jusqu’alors l’intérêt de les prendre un par un… Il est temps pour moi en 2020 d’arrêter de m’éparpiller et de choisir un seul objectif. A suivre !
Cela fait un moment que je bave devant les espaces Snoezelen, j’adorerais avoir la place et le budget d’en installer dans ma classe et chez moi. Si vous ne connaissez pas, il s’agit d’un concept né aux Pays bas dans les années 70. »Snoezelen » est la contraction de « Snuffelen » qui signifie explorer / sentir et « Doezelen » qui signifie somnoler. Pour résumer l’idée est de proposer un espace sensoriel riche capable de stimuler et d’éveiller les sens tout en étant un lieu confortable et sécurisant. Tout ça pour dire qu’aujourd’hui j’avais envie de vous proposer une alternative plus accessible en partenariat avec Hoptoys.
J’ai donc imaginé une valise étoilée permettant de faire un voyage dans la nuit. Pour cela, il vous faudra une vieille valise, j’ai peint l’intérieur en bleu nuit et ma maman a fait une belle réplique de Van Gogh. J’ai ensuite collé des étoiles phosphorescentes. Le principe c’est de mettre à l’intérieur des objets lumineux pour émerveiller votre public. Vous commencez à connaître mon goût pour la mise en scène, cela semble simplet mais tout est dans le spectacle qu’on met autour ! La valise ajoute du mystère, à vous d’imaginer la suite. La plupart du matériel vient donc de chez Hop’toys (je rajouterais bien un de ces quatre une lampe à fibres optiques et un mini projecteur kaléidoscope), les autres sont des vestiges de fêtes foraines et obscures pêches aux canards. Alors bien sûr, c’est moins impressionnant que les colonnes lumineuses mais c’est beaucoup plus accessible, en plus vous avez 20% de réduction sur ma sélection avec le code BLISS20 ! J’ai aussi ajouté deux albums sur le thème de la nuit pour ajouter une entrée différente.

Mes enfants ont beaucoup aimé cette valise, ils étaient déçus quand je leur ai dit que je l’emmenais à l’école. Mon grand m’a même demandé si je pourrai lui donner quand je serai à la retraite… well well well…
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