
Il est tant que je vous dise toute la vérité. Je suis styliste. J’ai fait des études passionnantes, j’ai appris un métier technique et artistique, j’ai développé un univers créatif. J’ai travaillé à mon compte, créé ma société. J’ai travaillé pour d’autres. J’ai découvert un monde incroyable et sans pitié. J’ai rencontré de merveilleuses créatrices que je vénérais comme des idoles, certaines sont devenues de vraies amies. J’ai été comblée, même si certaines choses m’ont coûté : la solitude, l’incertitude, les charrettes, les périodes creuses, les fins de mois difficiles… Ce n’est pas toujours aussi rose qu’il n’y parait.
Il y a quatre ans, j’ai donc décidé de reprendre mes études. Parce que j’aime apprendre (si je m’écoutais, je ne ferais que ça) et pour avoir un nouveau boulot. Quand j’étais petite et qu’on me demandait ce que je voulais faire, je répondais maîtresse ou styliste (plus tard, il y a aussi eu architecte, mais je passerai sur cette étape). C’était donc la troisième fois que je reprenais mes études. Ce choix a été difficile, j’avais peur de recommencer à zéro, de ne pas y arriver… Et puis pour faire simple, j’ai voulu faire un double cursus en Arts appliqués et en sciences de l’éducation, continuer de travailler comme styliste et faire un bébé. Je suis finalement arrivée au bout de ce parcours, j’ai appris énormément de choses, vécu des nouvelles expériences, élargi mes compétences. Hier, j’ai su que j’étais admise et à la rentrée, je serai professeur des écoles. Je suis heureuse, excitée et j’ai un peu peur aussi mais je pense pouvoir y trouver mon équilibre. Et puis je vais commencer une formation Montessori, j’ai été fascinée par les cours de psychologie du développement et j’ai envie d’approfondir la pratique maintenant. Je continuerai aussi la création, cela fait partie de moi. D’ailleurs, j’ai deux beaux projets chers à mon cœur qui devraient voir le jour, textilement passionnants. Ce sera sans doute une année bien chargée! Et puis il y a ce projet de maison qui verra peut-être le jour…
Une nouvelle vie pour tous les trois! Me voici donc instyliste, je n’ai jamais su choisir, que voulez vous! Je crois que malgré mes indécisions et mes changements de direction, je tourne toujours autour du même thème: l’enfance. L’enfance qui me fascine sous différents angles, la mode, la décoration, la création, l’imagination, l’éducation, et que sais-je encore?
Trêve de bavardage, l’heureuse gagnante du concours Easy Peasy est Klo!

Cela fait un petit moment que je ne vous ai pas montré la chambre du croq, un petit tour avant qu’elle change! J’ai toujours autant de plaisir à l’aménager, j’aimerais pouvoir en faire autant dans ma propre chambre (si j’en avais une!). Une chambre pour jouer, pour inventer, pour imaginer, une chambre où tout est possible, alors en piste!

Une nouvelle étagère chinée il y a quelques mois, a parfaitement trouvé sa place, les jouets sont à portée de main et je peux même faire un roulement. J’en cache même certains pour le surprendre de temps en temps dans la malle qui vient de chez Guapito. Le cirque Fisher price est l’un des plus grands trésors de chine! La lampe champignon en papier mâché a été faite par ma belle sœur pour notre mariage. Et puis il y a aussi, la suspension, le tapis d’éveil, le pouf pomme, la guirlande d’indien…
La prochaine fois je vous montre l’autre côté!
Et le concours Easy Peasy continue jusqu’à demain 🙂
Il a beau porter du orange, mon fils est un vrai garçon. Il est passionné par tout ce qui roule et tourne depuis qu’il est bébé et depuis peu, il bricole! Je me pose parfois des questions quant à la reproduction des stéréotypes sexuels, je crois que je suis servie… A la maison ce n’est pas vraiment papa qui bricole et maman aux fourneaux. On serait plutôt du genre papa cuisine, maman bricole et tout le monde crochète! Non mais on est si formatés que ça en vrai!? Et chez vous ça se passe comment?
 

Mon frère (qui tient à faire de lui un vrai garçon) lui a offert des outils Black et Decker et nous avons trouvé la caisse à outils FP chez Emmaüs pour 2 euros avec plein d’outils dépareillés, comme dans une vraie caisse à outil!
Allez, prochaine fois je vous montre la dinette! 😉
Vous connaissez mon goût pour les couleurs, les looks de super héros, les pièces originales, les démarches respectueuses de l’environnement? Et bien j’ai trouvé une marque qui peut se vanter d’avoir toutes ces qualités : j’ai nommé Easy Peasy!!! En effet, pour celles qui ne connaissent pas, c’est une jeune marque française de chaussons éco-conçus (cuir végétal, colle à l’eau, coton bio…) mais qui ne laissent pas pour autant le stylisme. Les modèles sont tous plus fun les uns que les autres! Des pommes, des moustaches, des modèles ouverts, des modèles à personnaliser, des modèles imprimés…

Moi j’ai craqué sur les Bomok patin : un modèle de super héros avec des scratchs qui permettent de les mettre tout seul (aussi bien sur des chaussettes à la crèche ou par dessus le pyjama à la maison), une semelle super moelleuse avec un patin en crêpe qui évite les glissades parce que les super héros ne tombent jamais! Et le petit plus : la couture à la main qui reprend les modèles traditionnels orientaux. Bref, je suis sous le charme et visiblement je ne suis pas la seule!

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Easy Peasy propose de vous offrir une paire de Bomok patin dans la couleur de votre choix, pour cela, rien de plus simple : vous me laissez un petit commentaire en me disant quelle est votre couleur préférée dans ce modèle, vous pouvez les voir par là!
Et vous pouvez avoir une deuxième chance si vous « likez » la page Facebook Easy Peasy. Vous le précisez dans un deuxième commentaire.
Et une troisième chance en partageant ce concours sur Facebook, c’est par ici. Vous le précisez dans un troisième commentaire.
Vous avez jusqu’à mercredi prochain. Bonne chance!

Dimanche, c’était ma fête…
Alors oui, la fête des mères c’est commercial, c’est pétainiste, toussa toussa… Mais à part ça, je me suis demandé : à quoi ça sert? Qu’est-ce qu’on fête? Le mérite d’avoir donné la vie? la reconnaissance? la récompense? En plus cette date arbitraire pour fêter les mères, les non nullipares (en plus c’est sectaire!) ne représente rien… Rien?
Avant-hier lors de ma deuxième fête des mères, je me souvenais de ma première. Celle pour laquelle j’avais dû plus qu’insister pour avoir un cadeau, celle pour laquelle j’avais encore un petit bébé, celle pour laquelle je découvrais encore la maternité. Alors j’ai trouvé à quoi ça servait : la fête des mères c’est une machine à souvenir. Et parfois les souvenirs peuvent prendre différentes formes…

A la crèche, mon croquignolet a fait cette merveille. J’ai eu le droit d’ouvrir mon paquet dimanche matin. Mon homme avait glissé le dernier CD de Vanessa Paradis (j’avais très subtilement lancé quelques dizaines de perches…) qui je crois, me rappellera toujours la fête des mères. Comme l’album Bliss me rappellera toujours le temps où j’habitais à New York. Et comme chaque album que j’adore me rappelle une période précise de ma vie, parce que les souvenirs ont aussi des odeurs, des musiques… Les fameux colliers de nouilles sont des prétextes pour se souvenir de ces beaux moments. Je pense qu’en voyant ce petit cadre dans 30 ans, je me souviendrai de cette journée, de ma fierté d’avoir un petit garçon si merveilleux, des 3 bouquets de fleurs de ma maman, de l’odeur des pancakes, de ce petit air de musique…
Alors aujourd’hui, je dis que parfois, il faut des prétextes, et la fête des mères en est un, pour créer des souvenirs et réchauffer le cœur des mamans!
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Sur ce, je vous donne rendez-vous demain pour un siouper concours ici-même! Et vendredi, il y aura un nouveau cours de crochet à Toulouse, on fera un ananas 🙂 N’hésitez pas à me contacter pour plus d’infos.
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