
Ah non ça ne se fait pas? Ah bon, chez vous tout le monde se prépare tout seul dans la joie et la bonne humeur sans jamais être en retard? En tout cas, chez nous c’est une remise en question permanente, on jongle, on tâtonne et plus on fait d’enfants et plus on progresse dans ce domaine, même si c’est toujours autant le bordel à la maison! Alors aujourd’hui, lendemain de reprise, je me décide à vous en parler… J’ai lancé le sujet des préparatifs les veille de rentrée sur Instagram et j’ai bien ri en lisant vos commentaires, visiblement chacune a sa façon de faire! Moi je suis à l’intérieur (et à l’extérieur) très bordélique, procrastinatrice, brouillon, tête en l’air alors ce n’est pas mon point fort, mais j’y travaille dur. En fait, je me rends compte de la satisfaction que j’éprouve à progresser dans ce domaine. C’est tellement plus simple quand les choses roulent! Je vous livre donc modestement quelques petits tips qui m’aident à gérer le quotidien de notre famille et je serais vraiment très très heureuse de lire les votre!
Alors déjà, y’a pas de secret, plus j’anticipe et mieux ça se passe! J’essaie maintenant de préparer les tenues de chacun la veille et de les mettre toujours au même endroit. Si j’ai le temps et qu’il est disponible, je demande à mon aîné de choisir ses vêtements. Avant il s’habillait tout seul le matin, j’aimais bien le fait qu’il soit autonome mais ça prenait un temps fou. Du coup, le matin, il n’a pas à tergiverser, il a choisi ou j’ai choisi la veille, il peut les enfiler les yeux encore fermés. En ce moment, j’essaie de mettre l’accent sur la gestion du linge par les enfants. J’insiste tous les soirs pour qu’ils mettent leurs vêtements sales au panier et ce qui est encore propre, sur la commode pour le lendemain. Ça paraît un détail mais jusqu’à il n’y a pas si longtemps, je passais un temps fou à ramasser les fringues parterre et le fait de trier avec eux m’évite de laver du linge inutilement, ils avaient tendance à tout mettre au panier, ça va plus vite! J’essaie de mettre l’accent comme ça sur un point à la fois et quand c’est acquis, je passe à autre chose.
J’en avais déjà parlé ici, mais les enfants ne prennent pas le bain tous les jours (même si on s’adapte aux aléas du quotidien). En dehors du fait que cela économise l’eau et leur peau fragile, cela nous fait gagner beaucoup de temps! Et je vous parle pas des serviettes en moins à laver, de la baignoire à rincer… Et maintenant, travail d’équipe et grande baignoire c’est au moins deux ou trois dans le bain à la fois!
Les enfants peuvent regarder la télé les week ends mais ils savent que pour cela leurs chambres doivent être rangées c’est la condition sine qua non. Cette fourberie nous permet de commencer tous les week ends par des chambres rangées. Par ailleurs, j’ai essayé d’organiser leurs chambres avec beaucoup de bacs et de rangements. Toc de maîtresse, je suis à deux doigts de mettre des photos des jouets pour qu’ils les rangent au bon endroit 😉 Sans rire, le fait que chaque chose ait une place facilite grandement le rangement. Ahhh si je pouvais appliquer ce principe à mon atelier!!!
Les enfants commencent à nous aider un peu plus pour la cuisine. Ils mettent le couvert et nous aident à débarrasser. Les bons jours, une fois les enfants couchés, on range ensemble la table et la cuisine. Souvent mon homme fait la vaisselle pendant que je m’occupe du linge, chacun de nous préférant cette activité à celle de l’autre. On prépare la table du petit déjeuner, c’est super agréable de se lever et d’avoir déjà ça de prêt. Bon il y a aussi les jours où on s’endort comme deux mouches léthargiques… On essaie aussi de préparer les boîtes à goûter des enfants et nos gamelles pour le midi. Le mardi je ne travaille pas alors j’essaie de cuisiner ce jour là des cookies ou d’autres gâteaux pour les goûters et les desserts de la semaine.
Pour les repas, nous essayons de faire de grandes quantités pour que ça dure au moins deux repas, plus nos gamelles du midi. Quand je fais les courses, j’essaie de prévoir au moins un ou deux repas jokers dans la semaine pour les jours charrette, genre un paquet de raviolis frais ou des haricots verts en bocaux mais nous ne mangeons jamais de plats préparés. Le panier de l’AMAP nous fait aussi gagner beaucoup de temps. Pas besoin de réfléchir aux courses et nous en faisons beaucoup moins souvent, il faut juste trouver des recettes en fonction des fruits et légumes du panier.
Depuis quelques temps je vais moins sur Instagram. Une fois, je me suis dit que le temps d’y aller et de scroller un coup c’était le temps de mettre une tournée de linge en route, ça m’a fait réfléchir! Aussi, quand j’ai ma fille collée dans les bras, j’en profite parfois pour faire quelque chose d’une main, genre arroser les plantes ou les asperger. C’est quelque chose que je fais depuis qu’elle est toute petite. Ça l’apaise et moi je me sens moins coincée!
Et j’oubliais, je ne repasse rien!
Voilà voilà, j’ai l’impression de me transformer petit à petit en organisator! Je me souviens du livre Treize à la douzaine dans lequel le papa des douze enfants chronométrait tout pour essayer de gagner du temps pour chaque tâche, sauf qu’en essayant de se raser plus vite, il finissait par perdre 2min30 à mettre un pansement sur sa coupure. Toute cette démarche me semblait tellement inimaginable il y a quelques temps… Bon alors j’ai un peu l’impression d’être une chauve qui vous donnerait des conseils de coiffure mais tant pis, c’est aussi la preuve que personne n’est irrécupérable!
Aujourd’hui j’inaugure une nouvelle rubrique ici. Ca fait un moment que j’y pense, que j’essaie de mûrir l’idée et là voici enfin, j’espère qu’elle vous plaira! Je vais vous raconter un peu la naissance de cette idée. Je me régale chaque année en arrivant dans une nouvelle école de rencontrer de nouveaux-elles collègues. Je suis toujours très curieuse de voir leur façon de travailler. Nous avons tellement à apprendre les uns des autres dans ce métier mais malheureusement on échange finalement assez rarement sur nos pratiques. En même temps c’est difficile de présenter sa façon de travailler. Du coup, ce que j’ai pris l’habitude de faire, quand je suis suffisamment à l’aise, je demande à visiter la classe du collègue en question. C’est plus facile d’expliquer sa façon de travailler en montrant l’aménagement de sa classe et puis quand on visite ça nous donne des idées, on peut les partager, rebondir, etc… J’ai l’impression que l’aménagement d’une classe reflète beaucoup la manière de travailler. Quand j’entends des parents râler sur les enseignants à la sortie de l’école, sur les réseaux sociaux ou n’importe où ailleurs (on est souvent la cible parfaite!) je pense souvent à toutes ces classes visitées, à toute cette énergie déployée, à tous ces enseignants remarquables… Et j’ai envie de crier que non, nous ne sommes pas des feignants et que non, les super instits ne sont pas que sur les réseaux sociaux, ils sont partout! Bref, pour appuyer mon propos, je vais vous proposer régulièrement le tour d’une classe. J’aimerais montrer aux parents que les super enseignants sont partout et aux enseignants que nous avons beaucoup à apprendre les uns des autres et que c’est chouette de partager ses idées! Allez, on commence dans la classe d’Ana!

Donc voici Ana, maîtresse de Moyenne et Grande Section à Toulouse. Elle était ingénieur chimiste dans une grande enseigne avant de se convertir. Elle enseigne depuis 17 ans. Ce qu’elle préfère dans ce métier c’est la relation avec les enfants. Ce qu’elle trouve le plus dur? La relation avec les parents. Ce qui la rend la plus fière? Quand les parents viennent se réjouir des progrès de leur enfant!

Son point faible? Les chaussures! Parfois à paillettes, parfois lumineuses, c’est son accessoire démago! Laissons la faire!!!

Ana dit qu’une classe doit être vivante. Elle n’a pas particulièrement rangé sa classe avant que je vienne la photographier, elle avait envie de montrer sa vraie classe. Enfin presque, puisque nous avons quand même attendu qu’elle se soit vidée de ses élèves! Ana n’hésite pas à changer l’organisation de sa classe au cours de l’année, elle essaie de s’adapter à l’évolution de la vie de la classe et aux besoin de ses élèves. Ce qui est le plus précieux dans sa classe? Le TBI (tableau blanc interactif). Elle emmène bientôt sa classe écouter un concert à la Halle aux grains et cet outil lui permet de leur montrer la salle, leur faire écouter les instruments… Les élèves sont fascinés par tout ce qui est numérique et elle dit qu’il faut en profiter. Bon, en l’occurence, son TBI est cassé depuis quelques semaines et elle se sent complètement bridée!

Ana a fabriqué ce jeu « Cherche et trouve » : les élèves ferment les yeux, elle enlève un maillot et ils doivent retrouver l’élément manquant.

Chaque table a une couleur attitrée et la couleur de plateau correspondant. Ana essaie d’organiser sa classe pour que ses élèves soient le plus autonomes possible. Elle essaie de les laisser travailler et intervient le moins possible.

Son coin préféré dans sa classe? Le coin jeu symbolique. Pour Ana, il permet d’installer une relation privilégiée avec les enfants. Elle y a installé un ciel de lit qui a le pouvoir de les rendre invisibles si ils ont envie de s’isoler. Un crocodile y a même trouvé sa place pour les protéger. Bon, elle avoue avoir parfois avoir envie de s’y cacher elle aussi, mais allez savoir pourquoi, elle n’a jamais osé!
Au fur et à mesure des années Ana a investi dans différents meubles de dinette en bois. C’est pour elle un vrai choix pédagogique de favoriser ce type de matériel dans ses commandes.

Ana fabrique aussi beaucoup de matériel pour son coin dînette : des pâtes, des raviolis, des glaçons, des aliments…

Ana a imaginé un trio de jupes et de shorts que les élèves peuvent essayer dans le cadre d’un projet sur la croissance… Vous voyez venir Boucle d’or?

Elle a également cousu des petits sets pour le bain en récupérant de vieilles serviettes de bain.

Quand je lui ai demandé de quoi elle rêvait pour sa classe, elle m’a répondu « rien ». Pour elle, tout est une question de choix. Elle a fait le choix de privilégier du beau matériel de qualité, quitte à en acheter moins mais en visant sur plusieurs années. Elle pense que, quand les élèves utilisent du beau matériel, de belles matières, des choses qui ont été fabriquées par leur maîtresse cela les incite à en prendre soin. Par exemple pour la dînette elle a installé de la vraie vaisselle qui casse pour qu’ils apprennent à en prendre soin.

Ana fabrique aussi des pages de Quiet book pour que ses élèves puissent s’entraîner en numération, schéma corporel, motricité fine…

Même si Ana dit qu’elle passe de moins en moins de temps à travailler pour sa classe (en dehors du temps de présence obligatoire) elle ne compte pas ses heures. Elle choisit de beaucoup travailler en amont, elle prépare toute son année pendant les vacances d’été. Elle travaille aussi avant la classe, elle arrive à l’école à 7h pour préparer ses photocopies, préparer ses ateliers, faire le travail administratif… Ce qu’elle trouve le plus chronophage c’est le traitement des images, elle utilise beaucoup de photos et cela lui prend beaucoup de temps de les utiliser/imprimer/nommer pour chaque élève. Elle scanne aussi tous les albums sur lesquels elle travaille pour les utiliser avec le TBI. Il faut dire qu’elle ne se facilite pas la tâche puisqu’elle change d’album tous les ans.

Trop sympa, Ana partage avec nous ses astuces récup!

Les boîtes de tri qui coûtent un rein? Pas de problème, elle les fabrique avec ses élèves!

Des bouteilles de miel réutilisées pour que les élèves puissent se servir seul en peinture… Au-to-no-mie, Ana a dit!

Le jeu le plus simple du monde que ses élèves peuvent fabriquer eux mêmes : un jeu de bataille avec du papier autocollant, une perforatrice soleil et hop!

Des jeux comme ça, comme toutes les maîtresses, elle en a plein ses tiroirs!

J’ai demandé à Ana une qualité indispensable pour être une bonne maîtresse? La débrouillardise! Un géoplan fait maison qui fait carrément l’affaire! Des pinces à linges pour faire tenir les stores, c’est le côté Mac Gyver des maîtresses. Ce qui n’empêche pas les maîtresses d’investir beaucoup de leur argent personnel pour leur classe, sous prétexte qu’elle garderont ce matériel, ces livres… Alors j’ai osé la question qui fâche, j’ai demandé à Ana combien elle dépensait pour sa classe. Elle a compté 350€ l’année dernière mais s’est promis de dépenser beaucoup moins cette année, on verra si elle s’y tient! Ses principaux lieux de perdition : Ikea pour les peluches et l’organisation, Lidl pour tous les jouets en bois et bien sûr les vide greniers.

Son astuce inavouable? Des cartes Auchan qu’elle ramène à chaque fois qu’elle va faire les courses pour travailler le tri avec les élèves les plus récalcitrants.

Le domaine qu’elle préfère travailler c’est le langage et « raconter » en particulier. Elle aime le côté créatif qui lui permet d’imaginer des marionnettes, des doudous et différents outils pour aider les élèves à travailler la structure narrative de l’album travaillé. Elle adore voir les yeux de ses élèves briller quand elle utilise ses outils et puis elle trouve drôle de retrouver ses propres défauts de langage chez ses élèves. Ana insiste sur le lâcher prise nécessaire une fois l’outil créé. Il faut laisser les élèves s’en saisir et se l’approprier. Il leur appartient désormais…

Son prochain projet/défi? Réaliser 30 tapis à raconter différents pour que ses élèves puissent les emmener en week end et raconter les albums en famille.
Merci Ana pour ce moment de partage!
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Alors si toi aussi tu as envie de m’inviter pour un reportage dans ta classe, n’hésite pas à m’envoyer un petit message!

Ma mère me parle beaucoup, elle me raconte tout… Et au milieu du flot de paroles, l’autre jour elle m’a dit ah et puis j’ai flingué mon sèche cheveux. Je lui ai demandé pourquoi, elle m’a dit qu’elle avait essayé de récupérer le vernis de sa table et ma bourinette de mère l’a foutu en l’air. Elle a demandé à mon père d’essayer de le réparer. Il n’est pas du genre a mettre à la poubelle à la première odeur de cramé. Il n’a pas réussi. Bon rassurez vous, je pense que ça ne l’a pas empêchée de dormir, il lui a plus servi à bricoler qu’à se sécher les cheveux. Alors je lui ai demandé ce qu’elle allait en faire. Elle m’a dit « je sais pas, je crois que Jean le mettra à la déchetterie… Jean!!!? « . Et là vous vous demandez où je veux en venir…
En fait, il y a quelques semaines on m’a proposé de collaborer avec Eco-systèmes. Cet organisme a pour mission de collecter les vieux appareils en vue de leur revalorisation/réemploi ou de leur recyclage définitif en passant par les étapes de dépollution et démantèlement. J’ai accepté rapidement car c’est un sujet qui me tient à coeur. Malheureusement dans notre société où l’obsolescence programmée est reine, il faut trouver des solutions. Au quotidien dans notre famille nous essayons de limiter au maximum l’achat d’appareils électro-ménager. Je vous avais raconté la façon dont nous nous étions passé de micro-ondes depuis notre déménagement. Quand nous n’avons pas le choix, nous essayons de privilégier des appareils de bonne qualité qui pourront être réparés grâce à un service après-vente efficace, mais ce n’est pas toujours facile à repérer. On pourra parler des Iphone d’ailleurs! Ensuite dans le cadre de l’association que nous avons créé, nous sommes en train d’essayer de mettre en place un répar’café dans notre commune et on y met beaucoup d’énergie et d’espoir. Mon McGyver de mari aime bien ouvrir les appareils ménagers en panne et il n’hésite pas à brandir son fer à souder mais ce n’est pas toujours efficace. Nous n’avons peut-être pas le pouvoir de changer les lois et de lutter contre cette obsolescence, mais en tant que citoyen, nous disposons quand même de quelques leviers. Je ne dis pas que nous avons une démarche exemplaire, loin de là, mais nous essayons de réfléchir à notre consommation et notre impact sur l’environnement.
J’avoue que jusque là, je ne connaissais pas Eco-systèmes. Quand je ne sais pas si un appareil est réparable, je l’emmène chez Emmaüs et je sais qu’ils testent les appareils avant de les mettre éventuellement à recycler. Dans le cadre de ma collaboration avec Eco-systèmes, je vous propose de vous montrer comment fonctionne cette filière, comment sont valorisés nos déchets… En effet, cet éco-organisme a aussi pour mission de participer à l’information des citoyens puisque la deuxième vie d’un appareil dépend du geste d’apport volontaire de chacun. En tant qu’usager, nous nous devons d’avoir une démarche responsable pour mettre en valeur ces déchets. Qui n’a jamais vu de télé sur le trottoir? Les consommateurs manquent parfois de civisme mais peut-être aussi d’informations? J’espère donc pouvoir mieux vous informer sur les solutions qui s’offrent à nous et au fonctionnement de cet éco-organisme. Alors si vous êtes prêts, je vais vous montrer la deuxième vie du sèche-cheveux de ma mère. Et en attendant, si vous cherchez un point de collecte ou un réparateur près de chez vous, vous pouvez vous rendre sur le site d’Eco-systèmes vous y trouverez toutes ces informations.
Après presque un an de couches lavables, il était temps de faire le point sur cette expérience. Ça nous a pris un peu de temps pour trouver un bon roulement, une marque qui nous convient, une bonne organisation. Chez nous, j’avais déjà dû le dire, ce sont les couches Hamac que nous avons trouvé les plus efficaces/faciles à utiliser. Les points hyper importants pour moi : séchage rapide (je n’ai pas de sèche linge), pas de grosses fesses et pas obligé de changer toute la couche à chaque fois. Au début je me suis dit que j’allais les coudres, j’ai imprimé le patron, trouvé les tissu etc et puis je me suis découragée, c’est quand même technique… J’ai rapidement arrêté de compter les couches économisées (pour nous et pour l’environnement) même si c’était très jouissif! En tout cas, je peux vous dire que c’est rentable cette affaire là. Je regrette juste de ne pas avoir investi pour le premier, ça aurait été encore plus rentable… La mise en place d’un espace de change adapté nous a beaucoup aidé à prendre de nouvelles habitudes. C’est juste une façon de faire différente finalement. J’ai entendu que les couches pouvaient « s’encrasser » au fur et à mesure des lessives en particulier avec la lessive faite maison. Du coup, j’ai acheté une lessive spéciale ici et ça semble fonctionner. Enfin pour lutter contre les idées reçues, je peux le dire maintenant, non ça ne fait pas plus d’irritation que les couches jetables.
Alors les points « peut mieux faire » maintenant… Pendant les vacances, j’avoue que je n’ai même pas essayé et nous sommes repassés au jetable. Au camping c’était juste inimaginable pour moi mais si nous avions été dans un gite, peut-être que je l’aurais fait. Ensuite, à la crèche elle est en couche jetable et pour le moment ce n’est pas prêt de changer. Quand je pense aux tonnes de couches qu’ils doivent jeter ça me donne le vertige! Et je dois dire que depuis que j’ai repris le boulot, c’est un peu plus difficile de tenir le rythme des lessives. En ce moment je jongle un peu avec les deux pendant la semaine, lavable et jetable. Affaire à suivre!

et pour illustrer tout ça, une petite série de photos du bel été indien qui semble désormais bien fini! (désolée, je n’ai pas réussi à choisir!)
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